Monday, October 26, 2009

Soutien Scolaire

Les mesures fiscales durant les années 1990 avaient déclenché l’expansion du secteur de « soutien scolaire ». Au lieu d’être limité aux classes les plus aisées comme auparavant, les cours particuliers sont devenus plus accessibles aux classes moyennes. Bien qu’il n y ait pas de statistiques actuels à l’égard du nombre d’enfants concernés, le sociologue Dominique Glasman constate qu’un véritable essor de ces cours se voit en France depuis dix ans.

La marché des cours particuliers profite de la peur de l’échec scolaire. La raison de son succès est sa présentation du « contre-modele » de l’établissement scolaire, en adoptant un système différent, y compris des cours individualisés, garantie de résultats, choix de l’enseignant. De plus, les étudiants y sont enseignés les savoirs de comment apprendre et les techniques qui assurent une meilleure chance de réussite aux concours et aux examens, mais ne sont pas suffisamment traités à l’école.

De nombreuses Françaises sont sensibles au fait que ce phénomène aggrave des inégalités sociales, car les familles qui manquent les moyens financiers ne peuvent pas donner à leurs enfants les chances de réussite qu’ont leurs camarades venant des familles plus aisées. Selon Glasman, les etablissements scolaires doivent répondre à cette menace en enseignant eux-mêmes les techniques qui aideront les élèves à réussir aux épreuves.

L’ampleur de la marché des cours particuliers est un échec pour le système éducatif nationale. Etant vu que aujourd’hui, l’excellence scolaire est considérée d’importance vitale, il faut que les pouvoirs publics tiennent compte de ce problème.

Sunday, October 11, 2009

La technologie et la langue

Dans l’espace crée par les nouvelles technologies et le media moderne, de nombreuses personnes s’affranchissent des règles linguistiques strictes et inventent d’autres normes. Pourrait on dire que la technologie causerait la mort du bon français ? Nous verrons si le problème soit aussi grave les puristes le trouvent, avant d’arriver a une conclusion.

Etant vu que la langue fait partie importante de la culture d’un pays, les puristes considèrent ces nouvelles tendances comme un vrai menace. Non seulement la beauté et les règles du français de Voltaire et Rousseau sont en train d’être oubliés, mais aussi une nouvelle génération des étudiants se sentent plus confortables en tapant devant l’ordinateur qu’en couchant leurs pensées sur le papier.

Cependant, en rendant disponible les documents (y compris les textes et les productions audio-visuelles) aux francophones partout dans le monde, la technologie aide la dispersion du français standard. D’un côté, la globalisation est responsable des changements langagiers. De l’autre, on peut argumenter que les personnes qui ont envie d’une audience mondiale adopteront la manière le plus compréhensible de s’exprimer. Si c’est possible de restructurer le système éducatif pour que les enfants aient une meilleure connaissance du « bon » française, ce dernier ne va pas bientôt disparaître.

C’est impossible d’ignorer le fait que le français, comme toutes les autres langues mondiales est en train de changer. Etant vu que l’evolution est une réalité de la vie, il vaut mieux accueillir la tendance et tenter de l’influencer que nager à contre-courant.

Sunday, October 4, 2009

Réglementation de la pub

L’influence du marketing sur le choix des consommateurs et les risques ainsi posé à la société aboutit nécessairement à une considération de la question ci- après. Pourrait on dire que le gouvernement doit mettre en place une forte réglementation des publicités pour protéger les citoyens ? Nous nous pencherons sur les raisons pour et contre une telle décision, avant d’arriver à une conclusion.

Premièrement, on peut argumenter que le but ultime des publicités et d’aider le consommateur à faire un choix informé. Les techniques insidieuses comme le « placement des produits » et le « neuromarketing » - qui donne aux entreprises les clés de notre processus de prise de décision- font partie de l’évolution de ce domaine. Selon quelques personnes, un gouvernement qui y impose trop de restrictions est totalitaire et ne respecte pas l’intelligence du consommateur.

Cependant, les maux liés à la pub sont bien connus. Certaines craignent que sans limitations, les techniques comme le neuromarketing pourraient aggraver les effets néfastes. Il y aurait un accroissement dans les maladies liées au marketing comme le diabète et des désordres alimentaires, une promotion plus efficace des attitudes anti sociales comme le matérialisme et tendance a la violence. De plus, il y a longtemps qu’on a quitté l’ère du laissez faire. Un gouvernement moderne ne peut ignorer aucun risque à la bien être des citoyens.

Comme il est plus facile de modifier une loi restrictive que de combattre une menace sociale, il vaut mieux avoir une forte réglementation de la pub lorsque les appréhensions à cet égard persistent.

Thursday, October 1, 2009

les négociations climatiques

Au sommet de l’ONU qui aura lieu à Copenhague le mois de Décembre, les délègues de 192 pays tenteront de trouver un accord pour remplacer le protocole de Kyoto qui expirera en 2012. Pourrait- on dire que les négociations au niveau mondial nous aiderons à résoudre les problèmes climatiques ?

C’est dans l’intérêt du monde entier d’agir contre le réchauffement climatique, dont les effets se manifestent déjà sous forme des catastrophes climatiques et qui déclencherait des « guerres environmentales » et « réfugies climatiques » ainsi mettant en danger la stabilité politique. En face de ce problème mondial, la co opération mondiale et donc des négociations à un tel niveau sont devenues une nécessité. L’engagement de la part des économies principales, surtout les Etats-Unis et la Chine, est encourageant.

Cependant, l'histoire nous montre que c'est presque impossible d'aligner des intérêts et arriver à un accord général. Il est aussi vrai que les pays en voie de développement se méfient des pays industrialisés, car ces derniers leurs demandent d'adopter des modèles sobres en carbone. En plus, même si les délègues aboutiront à un accord, y aura t-il une implémentation sincère des objectifs nécessairement plus exigeants que ceux de Kyoto, qui n'étaient pas respectés?

Certes, les necociations créeront une base pour la coopération intergouvernementale. Mais il est également important que tous les citoyens du monde décident de s'éduquer à propos de cette crise, de mettre la main à la pâte et de faire pression sur leurs élus, pour qu'ils ne les trompent pas.

Thursday, September 24, 2009

Les enfants distraits.



Le nombre d’enfants distraits, affairés et hyperactifs s’augmente d’une telle manière que l’on se demande si l’agitation soit le « mal du siècle ». Pourrait on éviter ce phénomène en engendrant un changement d’attitude parmi les parents ? Nous considérons la faisabilité de cette proposition avant d’arriver à une conclusion.

Il y a de multiples causes pour l’hyperactivité y compris le perte des « simples plaisirs » de la vie en face des choix offerts par le monde commercialisée. A cause des nouvelles technologies et formes de travail, les parents passent de moins en moins de temps avec leurs enfants. Les insécurités économiques aggravent les tensions dans le foyer. De plus, les parents se sentent forcés à pousser leurs petits pour qu’ils réussissent dans un ère ou rien que la perfection soit acceptable.

Quand même, quelques soient les difficultés du monde contemporain, c’est la responsabilité des parents de satisfaire non seulement aux besoins physiques des enfants, mais également à leurs besoins émotionnels. La famille exerce un rôle important dans le processus de la socialisation que l’état ne peut pas remplacer. Etant vu que la plupart des parents ne veulent que le bonheur des enfants, c’est raisonnable de supposer que les parents sensibilises feront tout leur mieux pour améliorer la situation.

Il n y a pas de consensus a l’égard des meilleures méthodes d’élever un enfant. Pourtant, l’ensemble des recherches conclut qu’il faut moins de pression, plus de tranquillité et plus de temps au sein de la famille. Des parents qui essayaient de mettre en place de tels changements à tous les niveaux déclencheraient une vraie révolution.

Monday, September 21, 2009

travail à domicile



Les entreprises à but lucratif ne permettraient pas le travail à domicile s’il n’y en avait pas de profit. Pourrait on dire que ceci assure une meilleure qualité de vie aux employés ? Nous considérons les aspects positifs et négatifs de ce phénomène avant d’arriver à une conclusion.

Avant que la récession l’ait rendu une nécessité budgétaire, le droit de travailler chez soi était obtenu avec difficulté. Les employés ainsi privilégiés gagnent de plus d’autonomie et peuvent faire des économies du temps et de l’argent. En travaillant aux heures qui leur conviennent le mieux, ils ont la possibilité d’augmenter la productivité. De plus, les horaires flexibles leur permettent à consacrer plus de temps aux loisirs, aux activités sociales et surtout à la famille. Il n y aurait plus de sentiments de « culpabilité » pour avoir laissé les enfants à la garderie !

Malgré les atouts, la question reste compliquée. Pour plusieurs personnes, le travail représente l’opportunité de sortir de la maison, d’explorer un peu le monde, de rencontrer des gens intéressantes, et d’enrichir la vie. Les collaborations en ligne, pourraient – elles vraiment satisfaire les aspirations ci-dessus ? L’impossibilité de séparer complètement la vie privée et la vie professionnelle en travaillant chez soi pourrait provoquer du ressentiment au sein de la famille et réduire l’efficacité au travail.

A ce jour, le travail à domicile ne s’adapte qu’aux quelques domaines. Un employé habile pourrait trouver son propre équilibre, mais il reste à voir ci ce « liberté » ne tourne pas à son défaveur.

Saturday, September 19, 2009

L’école française -considérée la fondatrice de la citoyenneté - se trouve dans une situation où la violence de la part des élèves, soit elle verbale ou physique, est en hausse. Pourrait on améliorer la situation en changeant le système d’éducation ? Nous considérons les solutions après avoir parle des causes et des conséquences

En analysant les causes de la délinquance , on voit qu’il y en a plusieurs qui sont plus liées à l’environnement sociale qu’à l’établissement scolaire, comme une socialisation de famille défectueuse et un faible QI. Le comportement des élèves, voire les attentes des professeurs varient selon la composition de la classe. Cela peut expliquer le fait que les incidents de violence sont plus fréquents aux écoles dans les ZEP qu’ailleurs. De plus, l’exclusion d’un élève par ses camarades pourrait le conduire à l’agression.

Cependant, il paraît que le facteur clé est l’échec scolaire. L’existence des « classes d’excellence » donne l’impression que l’école ne promeut pas l’égalité des chances. Faute d’une formation insuffisante, les neotitulaires ne parviennent pas à contrôler leurs étudiants. En outre, dans les ZEP, un bon professeur est rapidement muté ailleurs. Donc, les élèves dirigent les attaques a l’établissement scolaire parce qu’il représente l’état qui ne s’occupe pas d’eux.

Certes, une bonne formation des enseignants est essentielle car ils sont souvent les premiers à faire face à la violence scolaire. Mais il faut une collaboration entre ces derniers, l’administration et aussi la communauté pour mettre en pratique des changements grâce auxquels les élèves développeront un fort sentiment d’appartenance à l’école et ne seront plus conduit à la violence pour exprimer leur colère.

Thursday, September 10, 2009

La Crise Alimentaire

On est témoin à une « contradiction historique », à une ère de prospérité où de nombreuses personnes sont riches mais 963 millions souffrent de la sous-alimentation. Pourrait – on vraiment trouver une solution durable afin de surmonter ce problème ?

Grâce à la forte médiatisation de la crise alimentaire qui est généralement attribuée à la crise économique mondiale et à la flambée des prix alimentaires, on comprend la gravité de la situation, et ses effets à long terme. Avec l’engagement à réduire le nombre de personnes qui souffrent de la faim, et les changements structurels proposés par le FAO pour stimuler la production vivrière, la communauté internationale a manifesté sa volonté de résoudre ce problème grave.


Rappelons que la plupart des pays les plus affectés par la crise alimentaire sont marqués par l’instabilité politique, un pouvoir d’achat moyen très bas, une inéquitable distribution de la nourriture au sein de la famille ; problèmes qu’une organisation intergouvernementale ne peut pas résoudre. De plus, il n y a pas d’accord général quant aux causes de la crise, sans parler des solutions ! Selon quelques personnes, la flambée des prix a été provoquée par les actions des spéculateurs sur les marchés à terme des produits agricoles. D’autres blâment la hausse de la demande des agrocarburants, ou la politique de la libéralisation de ce secteur. Evidemment, on ne peut pas chercher un bouc émissaire.

C’est indéniable que le développement du secteur agricole doit devenir une priorité dans l’agenda international. Mais faute de la crise financière, les pays industrialises ne peuvent plus fournir autant de fondes aux tiers monde qu’auparavant. Même si on arrive à trouver des solutions, d’après moi, il est peu probable qu’on parviendra à les implémenter.

Monday, September 7, 2009

La mode et le racisme.



Blond, maigre et avec la peau aussi claire que le neige ; voici le profil du mannequin qui se répète sur tous les grands défilés de la mode. Qui pourrait dire que la mode est impartiale quant à la représentation des mannequins de couleur ?

Dans un pays comme l’Inde, on a beaucoup de mannequins de couleur. Donc, la question du racisme dans la mode survient dans un pays multiethnique, où la culture de la mode et le pouvoir d’achat sont principalement blancs. Dans un monde idéal, le choix des mannequins serait représentant de la diversité de la vie réelle. Mais la mode est synonyme avec le luxe et l’exclusivité. De plus, si c’est la blancheur qui se vende, pourquoi cette industrie à but non lucratif prendrait-elle des risques ?

Pourtant, la demande d’intervention sous forme de « quota » n’est pas déraisonnable. Nous, qui sommes émouvés par le rhétorique des « chances égales », trouvons difficile de se réconcilier avec le monde de la mode ; la seule industrie où la discrimination selon les caractères physiques est acceptée et même encouragée. Aucun responsable ne peut ignorer le fait que les critères son plus stricts pour les minorités ethniques. En outre, les femmes se sentent contraintes de se conformer au stéréotype et ainsi tentent changer leurs apparences à l’aide des traitements cosmétiques.

Cependant, Je ne me sens pas à l’aise avec l’idée de réglementer le choix des mannequins. Jusqu'à où peut- on aller ? Va-t-on mettre en place des quotas selon l’ethnicité, ton de couleur, genre de ligne, groupe de cheveux etc. ? D’après moi, le vrai défi c'est de comprendre comment habituer le monde aux plusieurs types de beauté.

Monday, August 31, 2009

Est-ce que la fracture linguistique pourrait- elle être considérée comme la fracture sociale ?

La langue émergeant des quartiers sensibles, dont le verlan fait partie intégrant, provoque une grande curiosité. Grâce à son popularité parmi les jeunes, elle est employée dans des films, des chansons (« rap » et « hip hop ») et des publicités. De l’autre côté, elle est le sujet de multiples études comme celle de Jean Paul Goudaillier, qui trouve son usage emblématique d’une fracture sociale.

En utilisant le verlan, les habitants des banlieues peuvent renverser la relation dominant/ dominé car la société aliénante est ainsi exclu. Les fidèles qui vénèrent la pureté linguistique ne peuvent pas accepter qu’on « défait » la langue de Molière. Les cités ont été établies pour loger des immigrés auxquels la société française ne voulait pas se mêler. La langue des cités est l’identité des jeunes qui sont piégés entre la culture de leurs parents qu’ils ne possèdent plus, et celle de la société française à laquelle ils n’ont pas accès complet. Si les français avaient été plus accueillants, cette langue n’existerait pas.

Je comprends le dilemme du professeur qui doit trouver un moyen terme entre le français standard, et le français de la cité. De plus, c’est triste de penser à l’étudiant qui doit se tenir à distance de la langue enseigné à l’école pour rester une partie de son groupe. Hors des banlieues, il est stigmatisé pour ne pas avoir maîtrisé le français standard.

Malgré les aspects positifs de cette langue des cités, c’est indéniable que ceci est un signe de la fracture sociale. Je n’arrive pas à penser aux solutions pratiques, sauf que la France devra trouver un moyen de mieux intégrer ses citoyens.

Sunday, August 30, 2009

Pourrait- on empêcher la propagation du SIDA en mieux informant les jeunes ?



A première vue, informer les jeunes semble le moyen le plus efficace pour empêcher la propagation du SIDA. C’est difficile de croire qu’une personne qui connaît des risques ne fera tout son possible pour se protéger. Cependant, cette stratégie me paraît trop générale.

Les recherches actuelles indiquent que ce n’est pas suffisant de fournir des renseignements à propos du virus VIH. Il faut aussi aborder les forces sociales et culturelles qui influencent le comportement d’un individu. Par exemple, parmi les modes de transmission en Afrique subsaharienne, on trouve des traditions profondément enracinées ; cérémonies d’identification ethnique où on coupe plusieurs jeunes avec la même lame, le coutume ou plusieurs femmes nourrissent un nouveau-né etc. Ici, c’est nécessaire de convaincre une communauté entière de modifier ou rejeter des traditions dangereuses. Pareillement, la violence sexuelle contre les femmes (cause majeure du SIDA) ne diminuera pas sans une amélioration dans leur statut social.

N’oublions pas le lien entre SIDA et la pauvreté. Les dépenses liées aux soins du malade épuisent rapidement les réserves financières du foyer. Ainsi, les familles peuvent être contraintes à vendre des ressources économiques, à devenir endettées, à retirer leurs enfants de l’école et donc perdre tout espoir de s’extraire de la pauvreté. Donc, on a besoin d’une volonté politique montrée aux niveaux national et global. Au lieu d’offrir de l’aide financière aux pays du Sud, les pays industriels pourraient réduire des mesures défavorables comme le protectionnisme agricole, pour que ceux – là puissent développer l’économie et lutter contre le SIDA dans une meilleur façon.

Sans aucun doute, c’est indispensable d’informer les jeunes afin de les mettre en garde. Mais pour vraiment empêcher cette maladie de se propager, il faut prendre en considération les dimensions culturelles, sociales, économiques et politiques d’une région et agir de la manière appropriée.

Thursday, August 27, 2009

Internet peut-il tuer la presse?



L’Internet se trouve sur le banc des accusés pour beaucoup de problèmes comme la destruction de la vérité, la perte du savoir- être, la ruine de la vie familiale etc. Mais c’est la suggestion que le Web tuera la presse écrite qui provoque une vraie consternation.

La diffusion d’information sur le Web a crée une situation ou les grands journaux doivent rivaliser pour une audience qu’ils avaient autrefois tenu pour acquise. Le choix des journaux (comme le Christian Science Monitor) de devenir internautes rend l'Internet un source d’information de plus en plus crédible. En outre, le nombre de personnes qui ne peuvent pas supporter l’écran diminue avec chaque génération. Quand la révolution technologique sera vraiment déclenchée au tiers monde, ce processus accélérera.

Il apparaît que la perte des revenus force les bureaux de presse à réduire la voilure et ainsi engendre la collecte d’information. Dans ce cas, je vois deux possibilités. Le premier c’est le déclin en variété et qualité d’information ; un véritable punition pour le consommateur qui veut tout, le veut immédiatement, et sans payer. Mais c’est également possible que quelques journaux dépasseront cet obstacle et deviendront encore plus puissants qu’auparavant.

A long terme, le modèle de la presse écrite payante est périmé. C’est vrai qu’on n’a pas encore trouvé un modèle économique viable pour le substituer. Mais ça ne veut pas dire que ceci ne sera jamais inventé ! Au moins, il faut accepter que ce ne soit pas possible de circonscrire le monstre numérique ; il valait mieux de l’adopter.

Friday, August 21, 2009

Je me présente ...

Salut !

Mon choix d’adresse électronique et titre de blog n’est pas une manifestation d’un intérêt vif pour la violence et le meurtre. En Kerala, d’où je viens, les mots qu’on utilisent pour indiquer un couteau ou un bavard sont les mêmes ! Donc, mon père m’appelle « kochupichati » ou « petit couteau » Ce n’est qu’une blague de sa part. Vraiment :-)

Je suis étudiante de la langue française (évidemment) mais je m’intéresse également à l’histoire et la science politique, métiers que j’apprends depuis 3 années à St. Xaviers. Me plonger dans un livre, taquiner les amis, échapper à ma mère quand elle veut me traîner à la cuisine etc. font partie de ma liste des petits bonheurs de la vie. Je suis mort de peur de traverser les rues, et de ma jumelle maléfique.