Thursday, September 24, 2009

Les enfants distraits.



Le nombre d’enfants distraits, affairés et hyperactifs s’augmente d’une telle manière que l’on se demande si l’agitation soit le « mal du siècle ». Pourrait on éviter ce phénomène en engendrant un changement d’attitude parmi les parents ? Nous considérons la faisabilité de cette proposition avant d’arriver à une conclusion.

Il y a de multiples causes pour l’hyperactivité y compris le perte des « simples plaisirs » de la vie en face des choix offerts par le monde commercialisée. A cause des nouvelles technologies et formes de travail, les parents passent de moins en moins de temps avec leurs enfants. Les insécurités économiques aggravent les tensions dans le foyer. De plus, les parents se sentent forcés à pousser leurs petits pour qu’ils réussissent dans un ère ou rien que la perfection soit acceptable.

Quand même, quelques soient les difficultés du monde contemporain, c’est la responsabilité des parents de satisfaire non seulement aux besoins physiques des enfants, mais également à leurs besoins émotionnels. La famille exerce un rôle important dans le processus de la socialisation que l’état ne peut pas remplacer. Etant vu que la plupart des parents ne veulent que le bonheur des enfants, c’est raisonnable de supposer que les parents sensibilises feront tout leur mieux pour améliorer la situation.

Il n y a pas de consensus a l’égard des meilleures méthodes d’élever un enfant. Pourtant, l’ensemble des recherches conclut qu’il faut moins de pression, plus de tranquillité et plus de temps au sein de la famille. Des parents qui essayaient de mettre en place de tels changements à tous les niveaux déclencheraient une vraie révolution.

Monday, September 21, 2009

travail à domicile



Les entreprises à but lucratif ne permettraient pas le travail à domicile s’il n’y en avait pas de profit. Pourrait on dire que ceci assure une meilleure qualité de vie aux employés ? Nous considérons les aspects positifs et négatifs de ce phénomène avant d’arriver à une conclusion.

Avant que la récession l’ait rendu une nécessité budgétaire, le droit de travailler chez soi était obtenu avec difficulté. Les employés ainsi privilégiés gagnent de plus d’autonomie et peuvent faire des économies du temps et de l’argent. En travaillant aux heures qui leur conviennent le mieux, ils ont la possibilité d’augmenter la productivité. De plus, les horaires flexibles leur permettent à consacrer plus de temps aux loisirs, aux activités sociales et surtout à la famille. Il n y aurait plus de sentiments de « culpabilité » pour avoir laissé les enfants à la garderie !

Malgré les atouts, la question reste compliquée. Pour plusieurs personnes, le travail représente l’opportunité de sortir de la maison, d’explorer un peu le monde, de rencontrer des gens intéressantes, et d’enrichir la vie. Les collaborations en ligne, pourraient – elles vraiment satisfaire les aspirations ci-dessus ? L’impossibilité de séparer complètement la vie privée et la vie professionnelle en travaillant chez soi pourrait provoquer du ressentiment au sein de la famille et réduire l’efficacité au travail.

A ce jour, le travail à domicile ne s’adapte qu’aux quelques domaines. Un employé habile pourrait trouver son propre équilibre, mais il reste à voir ci ce « liberté » ne tourne pas à son défaveur.

Saturday, September 19, 2009

L’école française -considérée la fondatrice de la citoyenneté - se trouve dans une situation où la violence de la part des élèves, soit elle verbale ou physique, est en hausse. Pourrait on améliorer la situation en changeant le système d’éducation ? Nous considérons les solutions après avoir parle des causes et des conséquences

En analysant les causes de la délinquance , on voit qu’il y en a plusieurs qui sont plus liées à l’environnement sociale qu’à l’établissement scolaire, comme une socialisation de famille défectueuse et un faible QI. Le comportement des élèves, voire les attentes des professeurs varient selon la composition de la classe. Cela peut expliquer le fait que les incidents de violence sont plus fréquents aux écoles dans les ZEP qu’ailleurs. De plus, l’exclusion d’un élève par ses camarades pourrait le conduire à l’agression.

Cependant, il paraît que le facteur clé est l’échec scolaire. L’existence des « classes d’excellence » donne l’impression que l’école ne promeut pas l’égalité des chances. Faute d’une formation insuffisante, les neotitulaires ne parviennent pas à contrôler leurs étudiants. En outre, dans les ZEP, un bon professeur est rapidement muté ailleurs. Donc, les élèves dirigent les attaques a l’établissement scolaire parce qu’il représente l’état qui ne s’occupe pas d’eux.

Certes, une bonne formation des enseignants est essentielle car ils sont souvent les premiers à faire face à la violence scolaire. Mais il faut une collaboration entre ces derniers, l’administration et aussi la communauté pour mettre en pratique des changements grâce auxquels les élèves développeront un fort sentiment d’appartenance à l’école et ne seront plus conduit à la violence pour exprimer leur colère.

Thursday, September 10, 2009

La Crise Alimentaire

On est témoin à une « contradiction historique », à une ère de prospérité où de nombreuses personnes sont riches mais 963 millions souffrent de la sous-alimentation. Pourrait – on vraiment trouver une solution durable afin de surmonter ce problème ?

Grâce à la forte médiatisation de la crise alimentaire qui est généralement attribuée à la crise économique mondiale et à la flambée des prix alimentaires, on comprend la gravité de la situation, et ses effets à long terme. Avec l’engagement à réduire le nombre de personnes qui souffrent de la faim, et les changements structurels proposés par le FAO pour stimuler la production vivrière, la communauté internationale a manifesté sa volonté de résoudre ce problème grave.


Rappelons que la plupart des pays les plus affectés par la crise alimentaire sont marqués par l’instabilité politique, un pouvoir d’achat moyen très bas, une inéquitable distribution de la nourriture au sein de la famille ; problèmes qu’une organisation intergouvernementale ne peut pas résoudre. De plus, il n y a pas d’accord général quant aux causes de la crise, sans parler des solutions ! Selon quelques personnes, la flambée des prix a été provoquée par les actions des spéculateurs sur les marchés à terme des produits agricoles. D’autres blâment la hausse de la demande des agrocarburants, ou la politique de la libéralisation de ce secteur. Evidemment, on ne peut pas chercher un bouc émissaire.

C’est indéniable que le développement du secteur agricole doit devenir une priorité dans l’agenda international. Mais faute de la crise financière, les pays industrialises ne peuvent plus fournir autant de fondes aux tiers monde qu’auparavant. Même si on arrive à trouver des solutions, d’après moi, il est peu probable qu’on parviendra à les implémenter.

Monday, September 7, 2009

La mode et le racisme.



Blond, maigre et avec la peau aussi claire que le neige ; voici le profil du mannequin qui se répète sur tous les grands défilés de la mode. Qui pourrait dire que la mode est impartiale quant à la représentation des mannequins de couleur ?

Dans un pays comme l’Inde, on a beaucoup de mannequins de couleur. Donc, la question du racisme dans la mode survient dans un pays multiethnique, où la culture de la mode et le pouvoir d’achat sont principalement blancs. Dans un monde idéal, le choix des mannequins serait représentant de la diversité de la vie réelle. Mais la mode est synonyme avec le luxe et l’exclusivité. De plus, si c’est la blancheur qui se vende, pourquoi cette industrie à but non lucratif prendrait-elle des risques ?

Pourtant, la demande d’intervention sous forme de « quota » n’est pas déraisonnable. Nous, qui sommes émouvés par le rhétorique des « chances égales », trouvons difficile de se réconcilier avec le monde de la mode ; la seule industrie où la discrimination selon les caractères physiques est acceptée et même encouragée. Aucun responsable ne peut ignorer le fait que les critères son plus stricts pour les minorités ethniques. En outre, les femmes se sentent contraintes de se conformer au stéréotype et ainsi tentent changer leurs apparences à l’aide des traitements cosmétiques.

Cependant, Je ne me sens pas à l’aise avec l’idée de réglementer le choix des mannequins. Jusqu'à où peut- on aller ? Va-t-on mettre en place des quotas selon l’ethnicité, ton de couleur, genre de ligne, groupe de cheveux etc. ? D’après moi, le vrai défi c'est de comprendre comment habituer le monde aux plusieurs types de beauté.