
Le nombre d’enfants distraits, affairés et hyperactifs s’augmente d’une telle manière que l’on se demande si l’agitation soit le « mal du siècle ». Pourrait on éviter ce phénomène en engendrant un changement d’attitude parmi les parents ? Nous considérons la faisabilité de cette proposition avant d’arriver à une conclusion.
Il y a de multiples causes pour l’hyperactivité y compris le perte des « simples plaisirs » de la vie en face des choix offerts par le monde commercialisée. A cause des nouvelles technologies et formes de travail, les parents passent de moins en moins de temps avec leurs enfants. Les insécurités économiques aggravent les tensions dans le foyer. De plus, les parents se sentent forcés à pousser leurs petits pour qu’ils réussissent dans un ère ou rien que la perfection soit acceptable.
Quand même, quelques soient les difficultés du monde contemporain, c’est la responsabilité des parents de satisfaire non seulement aux besoins physiques des enfants, mais également à leurs besoins émotionnels. La famille exerce un rôle important dans le processus de la socialisation que l’état ne peut pas remplacer. Etant vu que la plupart des parents ne veulent que le bonheur des enfants, c’est raisonnable de supposer que les parents sensibilises feront tout leur mieux pour améliorer la situation.
Il n y a pas de consensus a l’égard des meilleures méthodes d’élever un enfant. Pourtant, l’ensemble des recherches conclut qu’il faut moins de pression, plus de tranquillité et plus de temps au sein de la famille. Des parents qui essayaient de mettre en place de tels changements à tous les niveaux déclencheraient une vraie révolution.